NOS ACTUS
Comment élever des enfants, de façon égalitaire, dans un monde encore empreint de stéréotypes ?
À la frontière du documentaire et de la fiction dansée, Marie Barbottin s’empare du phénomène de l’invisibilisation des femmes de plus de 50 ans. Avec cinq danseuses, elle donne corps et voix aux désirs d’une génération dans un manifeste contre l’obsolescence humaine programmée.
Comment élever des enfants, de façon égalitaire, dans un monde encore empreint de stéréotypes ?
Une remise en question incarnée du rapport à la sexualité et au désir. Alex a du talent. Jeune photographe marseillaise, elle est sur le point d’être exposée au prestigieux festival d’Arles. Seule contrainte : présenter un sujet inédit. Ce qu'elle fait en s’emparant du thème du désir. Mais de quel désir parle-t-on ? Alex n’est pas dupe : dans le monde des hommes, la sexualité est un jeu souvent pensé par eux et pour eux.
Elle s’appelle Blandine Lehout. Pas vraiment un prénom de star, ironise-t-elle. Mais un prénom dont on se souvient, qui l’identifie instantanément.
Avec son tout premier roman graphique, Sixtine Dano crée la surprise. Avec l'élégance de l'encre et du fusain elle dépeint les questions existentielles du passage de l’enfance à l’âge adulte, l’exploration de la féminité et des rapports de pouvoir dans une société marquée par le patriarcat et le capitalisme.
Elle s’appelle Blandine Lehout. Pas vraiment un prénom de star, ironise-t-elle. Mais un prénom dont on se souvient, qui l’identifie instantanément.
Elle s’appelle Nadia Daam. Nadia est journaliste et autrice. Elle aime le gris, le livre Moi, Charlotte Simmons de Tom Wolfe, Jeff Buckley et se décrit comme quelqu’un de très angoissée.
Liv Strömquist : une autrice qui te veut du bien ! Exposition & Rencontre
Elle s’appelle Maud Ventura. Et ce n’est pas un pseudonyme. Maud ne s’est d’ailleurs jamais posé la question d’avoir un nom de plume. Parce qu’elle aime le sien, il représente le mariage de son père, italien et de sa mère, française.
Elle s'appelle Pénélope Bagieu. Petite, elle n’aimait pas son prénom. Elle aurait voulu s’appeler Karine, avec un K. Puis un jour, elle a réalisé le bonheur que c’était, d’avoir un prénom singulier.
Elle s'appelle Ovidie. C’est son nom de guerre. Son avatar. Parce qu’elle a compris très tôt que son image publique et son discours n’allaient plus tout à fait lui appartenir.